Revue de presse … repus d’ivresse

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Journal Sud Ouest Pays Basque – Lundi 13 décembre 2021

Jean-François Balerdi en solo

L’espace culturel Bitxintxo a rallumé les feux de sa rampe samedi dernier. Pour la première donc, après une si longue absence de spectacle, c’est le comédien humoriste Jean-François Balerdi qui est monté sur scène pour présenter sa performance intitulée : « L’heureux tour ! »
Une prestation fluide et rythmée d’un comédien stimulant et même revigorant !
Sud Ouest
23 septembre 2021

Une promenade…

… dans les allées de l’esprit avec, en fond, un vent d’ironie, une tornade de mots et un souffle de tendresse. 
A voir absolument.
Sud Ouest

Le résultat est superbe !

En une dizaine de sketches d’une écriture superlative, Jean-François Balerdi nous emmène voyager autour d’un monde de rêve et de réalité où le rire le dispute à l’émotion. Il a le fantastique et le surréalisme de Devos, la poésie acidulée de Desproges, le parler cru de Carlier et le sens du texte de Vialatte. Autant dire qu’il ne va pas chercher ses références dans la bouillie verbeuse et racoleuse des amuseurs ordinaires de la télé poubelle. Pendant une heure et demie Jean-François Balerdi joue avec les mots et les situations pour notre plus grand plaisir. Courrez voir son spectacle sans plus tarder : c’est un vrai moment de bonheur !
Philippe Vincent
Jazz Magazine

Le rendez-vous est une réussite

Le spectacle fait mouche et le public en sort ravi. Par petites touches successives, avec des jeux de mots subtils, sa vision de la société est très précise et les thèmes sont toujours abordés humainement et avec tendresse. Un spectacle bien rodé, rapide, sans aucun temps mort. Le public suit, s’amuse et réfléchit sur ses mots, ses flèches. De l’inédit, de l’inattendu, entre rêve et émotion, rires et sourires, c’est une heure et demie de bonheur pour l’assistance.
Sud Ouest

Un one man show époustouflant

Jean-François Balerdi a tenu en haleine son public pendant une heure et demie. Il joue avec les mots faisant passer le spectateur de l’humour à la poésie, de la philosophie de la vie à l’histoire de la société, avec beaucoup d’humour et de tendresse. Il a une énergie à revendre, il aborde tous les sujets, même graves, nous imite, promène son regard sur l’humanité. Comédien énergique, il le trimballe le public avec son spectacle simple mais sincère. Les spectateurs, durant une heure et demie ont été fascinés, étonnés…mais où trouve-t-il toutes ses idées, ses jeux de mots? Un spectacle délirant, étonnant et plein d’humour qui a fait que le public de « la Charcuterie » est sorti enthousiaste et avec un bol de bonne humeur en prime.
La République des Pyrénées

Un grand Monsieur

Ce vendredi, le président du Comité des fêtes d’Orist M. Viaud a eu l’excellente idée d’inviter Jean-François Balerdi qui a prodigué un cours de voltige grammaticale, véritable leçon d’humour français.
Un fond noir, un bout de carton, une poubelle et quelques sacs plastiques sont le décor du spectacle de cet homme qui rappelle un certain Raymond Devos, virtuose des mots.
Ce père de deux enfants, du haut de ses douze ans d’expérience, a séduit le public avec son humour décapant, tantôt noir, tantôt désopilant.
L’amour des mots
Une très bonne imitation des comiques actuels ou disparus, un poème d’une tendre drôlerie partagé avec le public, une étude savoureuse sur l’ego masculin, de nombreux thèmes évoqués comme le racisme vu côté végétal africain, le quotidien d’un SDF, la dépendance suave aux médias, la vie ubuesque des couples : ce Bayonnais de naissance manipule l’adverbe, caresse les phrases, joue des silences, partage son amour des mots et de la dérision, souligne la « petiterie » de l’homme mais aussi son génie.
Ce one-man-show est un feu d’artifice grammatical et une leçon de correction : en effet, pas un mot grossier durant les deux heures de spectacle, seulement du français de haute tenue que les jeunes enfants et leurs parents présents dans la salle ont pu apprécier.
Le public d’Orist a ovationné cette quasi première du nouveau spectacle de Jean-François Balerdi.
Quelques crêpes et des boissons ont mis un point final à cette soirée que l’artiste a partagée avec son public, répondant très gentiment à toutes les sollicitations des uns et des autres… avec à la clé des félicitations unanimes bien méritées.
En fin de compte, ce n’est pas « l’histoire d’un mec », c’est plutôt « l’histoire d’un Monsieur ».
Sud Ouest
21 avril 2009

Un humour à fleur de peau.

En une heure trente d’étourdissante présence et de textes ciselés, ce gars la vous met du baume au cœur pour le restant de l’année !
Sud Ouest

Jean-François Balerdi souhaitait trouver un public pour un soir…

… et plus si affinités, il a submergé l’assistance, comblée par tant de fraîcheur comique. Un auditoire captivé qui a récompensé à son tour, cet artiste digne des plus grands, lors d’une standing ovation. » –
Le Républicain Sud Gironde

Un petit bijou de finesse !

Ce weekend, sur la scène du cabaret d’automne de l’association culturelle et sportive, Jean-François Balerdi a traité les sujets les plus divers, en évitant les clichés. Au gré de son périple buissonnier, il a croisé un marchand de chaussures d’occasion, des arbres xénophobes, une maman ultra-libérale, un truc en plume, le regretté Bourvil, des militaires pacifiques dont  » la bombe anatomique » provoque une explosion de joie et même Rossini et autres personnages
historiques célèbres.
Autant de rencontres surprenantes, insolites, émouvantes et comiques.
Dix sketches les plus farfelus et les plus atypiques s’enchaînaient sans que l’on sache où l’on allait : scènes d’amour , parodies, personnages espiègles et insouciants jetés dans monde sans pitié. Au cours des deux représentations du cabaret version 2008, les spectateurs gaassois, toujours aussi fidèles au rendez-vous, ont ainsi savouré le one-man-show de Jean-
François Balerdi, petit bijou de finesse dans le quel I’artiste a le don de traquer les détails et de toucher le cœur.
Sud Ouesr
4 décembre 2008

Camiade sous le charme

Un grand artiste est né.
Ce dernier samedi l’”Association demain Saint-Martin” présentait le fantaisiste, poète, écrivain, acteur Jean François Balerdi. Cet artiste avait été notamment révélé à l’occasion du Festimai voici quelques années. S’il est vrai que plus d’une centaine de spectacles sont aujourd’hui à son actif il semble tout aussi urgent que Jean François Balerdi accède au plus vite au niveau supérieur. C’est une place nationale qu’il mérite… Et que son public mérite…
Ce véritable poète des temps modernes écrit lui-même tous ses textes: l’importance des mots avec lesquels il joue est prépondérante dans tous ses sketches. S’il mérite d’être comparé au grand “Raymond Devos”, il est important d’observer que ses écrits sont plus forts et que les jeux de mots ne lui suffisent pas…
En avance d’un jeu par rapport à son public il galvanise et étonne par ses changements de rythme. Du terre à terre au délire, du calme à la tempête, il nous emmène dans son univers et il fait toujours bon le suivre! Messieurs les organisateurs de spectacles ou autres découvreurs de talents faites vous connaître.
Jean-François, ne prends pas la grosse tête et viens présenter ton nouveau spectacle aux Saint-Martinois dès qu’il sera prêt. A bientôt petit prince !
Claude Paucton
30 octobre 2008

La plume de Raymond Devos

Il y avait le « facteur cheval » et son surréalisme devenu légendaire. Il y a aujourd’hui le « facteur Balerdi » Jean-François, de son état, postier à Bayonne, poète et témoin avisé d’une société où l’ubuesque devient la normalité.
Du coup, le jeune homme se prend à écrire. Textes ciselés, sens de la litote, du rythme, verbe ravageur. On se prend même à songer à la puissance évocatrice d’un Raymond Devos. Les professionnels ne s’y trompent pas. Très vite, Balerdi « chauffe » les salles.
Récemment, il assuré la première partie du spectacle de Bosso. Fan inconditionnelle, une membre du comité des fêtes d’Orist l’a abordé et lui a soumis modestement une proposition de prestation pour Orist (537 habitants)
Le facteur n’est pas un marchand du temple. C’est un artiste. Un poète, un vrai. Il a offert un époustouflant one-man-show aux spectateurs aussi ébahis qu’hilares. Tour à tour, revigorant, tendre ou irrésistiblement drôle, ce doux dingue est passé, d’un trait de plume, du rire aux larmes. Emotion garantie, les Oristois ont eu leur moment de salutaire folie et ne demandent qu’ à revivre dans cet univers unique. »
Sud Ouest